Communauté Narnienne : L'or des temps
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Alors comme ca devenait un peu dur a suivre, dans "Faire vivre notre imagination" avec trois histoire debutées, d'un commun accord, nous avons decidez moi et Cc de creer un topic pour notre fic...
Nous recommencerons par le debut, chapitre un et ainsi de suite... N'hesitez pas de donner votre avis, meme si c'est negatif, c'est comme ca que l'on s'ameliore ^^ Les chapitre seront edité par Cc. ^^ Voili voulou  :-D. Bonne lecture les amis
"Je voudrais que tu comprennes ce qu'est le vrai courage... C'est savoir que tu pars battu d'avance et, malgré ca, agir quand même et tenir jusqu'au bout." Harper Lee. "Il n'arrive des choses extraordinaires qu'aux personnes extraordinaires" dixit Ripitchip, l'odyssée du passeur d'aurore |
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CHAPITRE UN
Cet après-midi là Skandar était seul chez lui. Le temps, couleur de pluie ne lui disait rien de bon. Heureusement il lui restait encore la moitié des Chroniques de Spiderwick à lire... Le tonnerre frappa une fois, et puis les bruit des gouttes tombèrent sur les fenêtres. Alors que sa lecture du livre avait avancé, quelques petits coups discrets furent tapés à sa porte. Il posa son livre sur la table basse, et se dirigea vers la porte. Quelle ne fut pas sa surprise quand il ouvrit la porte : -Georgie ?! demanda-t-il Elle avait les cheveux collés sur son visage du a la pluie, elle lui fit un joli petit sourire, lui fit un petit bisou sur la joue, et rentra : -Qu’est ce que tu fais la ? -Bah on devait se voir, tu ne te rappelle pas, mais je savais que tu allais oublier donc je suis venue à toi, dit-elle d’un ton détaché en s’asseyant sur le canapé après avoir retiré son beau manteau rouge. Mon grand frère me manquais trop, ajouta t-elle avec un rire moqueur. Il lui tira la langue pour seule réponse. En effet, Georgie et Skandar étaient inséparables depuis les tournages du Monde de Narnia. -Avec ce temps… je devrais vraiment te manquer… Ou peut être as-tu quelque chose à me demander… - Ah, ben non tu vois… rigola-t-elle, alors tes études a la faculté cela se passe bien ?? -Oh, oui je me sens bien dans la faculté de médecine… déclara-t-il en s’asseyant à côté d’elle. -Et mon cher Skandy, aurait-t-il enfin trouvé son âme sœur ? lui dit-elle. Il rougit violemment, parler des ses histoire d’amour n’était vraiment pas son genre. Il fut tiré de ses pensées par Georgie qui éclata d’un rire franc. -Faudrait, te regarder, mon vieux quand on te parle de filles, finit-elle par dire après avoir pris sa respiration. Il lui lança un regard noir, puis se radoucit, et sur ses lèvres s’étira un sourire carnassier. -Pourquoi tu me regarde comme ça, dit-elle, en se redressant, ayant compris le regard de Skandar. -Tu vas me le payer Mademoiselle Henley, lui murmura-t-il, lui sautant dessus pour lui faire des chatouilles. Il n’en fallut pas beaucoup de temps, pour que Georgie hilare, se dégage de Skandar. Elle courut partout dans tout l’appartement essayant de lui échapper. -C’est bon tu as gagné, je capitule… dit-elle entre deux souffles, se tenant sur le lavabo de la cuisine. - Tu vois, ça t’apprendra à te moquer de moi… se vanta-t-il, en s’asseyant sur une chaise, dos a Georgie. Il reçut tout d’un coup un verre d’eau sur la tête, ce qui eut pour effet de tremper son tee-shirt gris. Il se retourna et vit Georgie tenant un verre essayer tant bien que mal de se retenir de rigoler. -Georgie !!!! Je te préviens cours vite parce que si je t’attrape, je ne donne pas cher de ta peau, sœur de cœur ou non. Dit–il en se rapprochant dangereusement de la jeune fille Elle poussa un petit cri, mi effrayé, mi hilare, elle se précipita vers l’entrée, et sortie, Skandar a ses trousses. Il ne pleuvait plus, mais le soleil était toujours caché sous les nuages. Il n’y avait aucun bruit, seuls les éclats de rire de Georgie trahissait le silence de se quartier monotone. Ils ne virent pas le paysage défiler dangereusement devant leurs yeux. Après quelques minutes, Skandar réussit à attraper Georgie et ne la lâcha plus, lui faisant des chatouilles puis ils tombèrent à la renverse. -C’est bon…, Skandy…, j’arrive plus…. à respirer, haleta-t-elle hilare. -Ah, c’est bien tu commences à être raisonnable. Il se calèrent contre le muret, reprenant leur souffle peu à peu. Un bruit de vague se fit entendre. -Tu entends ça ? demanda Skandar à Georgie. Ils se regardèrent et se levèrent ensemble puis se retournèrent et firent face à une immense calanque, les vagues s’échouant sur les rochers. Le ciel était en partie nuageux, mais à quelques endroits les rayons du soleil se reflétaient sur la mer bleutée. -Oh, mon dieu, murmura Georgie, estomaquée, cela est magnifique. Quand Aslan montre ses crocs, l'hiver meurt aussitôt. Quand il secoue sa belle crinière, le printemps réchauffe la Terre. |
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1er chapitre en ligne ^^
"Je voudrais que tu comprennes ce qu'est le vrai courage... C'est savoir que tu pars battu d'avance et, malgré ca, agir quand même et tenir jusqu'au bout." Harper Lee. "Il n'arrive des choses extraordinaires qu'aux personnes extraordinaires" dixit Ripitchip, l'odyssée du passeur d'aurore |
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CHAPITRE 2
-Je crois qu’on s’est perdus, déclara-t-il, mi amusé, mi- effrayé. Il ne savait pas pourquoi mais quelque chose l’angoissait. Mais déjà Georgie ne l’écoutait plus, s’éloignant de lui, et regardant autour d’elle. Elle partit vers la forêt, d’où surplombait un magnifique château sur une colline, couleur blanc et or. Ce château paraissait immense dans la brume. Ses fenêtres formaient comme d’énormes yeux qui regardaient avec insistance les deux intrus. -Mais qu’est-ce que tu fais ? demanda Skandar, en la rattrapant -Tu n’as pas vu le château ? Nous devrions y aller, peut être que quelqu’un pourrait nous aider, et nous expliquer ce qui nous arrive, lui dit-elle pour le convaincre et ainsi amoindrir sa curiosité. - Non, je préfère qu’on reste ici et trouver un moyen de reparti. Si ça se trouve tout simplement nous rêvons… Mais oui c’est ça nous somme dans mon rêve, poursuivit-il, en entreprenant de faire les cents pas devant Georgie - Arrête-toi, tu me donne le tournis, tu as déjà vu un paysage comme celui-là à Londres ? Donc soit comme tu dis, nous sommes dans un rêve donc tant ce cas on se réveillera vite. Ou sinon si ce n’est pas le cas je ne vois qu’une seule solution pour remédier à notre problème, avoua-t-elle en jetant un regard appuyé au Château. Elle s’engouffra dans les herbes hautes, laissant Skandar dans la contemplation du dit château. Ce château lui posait bien des questions. Que pouvait bien-t-il être ? Soit il était hanté ou alors habité par des locataires aux idées pas très pacifiques qui n’apprécieraient pas une visite inopportune de deux inconnus et qui les emprisonneraient dans un cageot sombre. Ou bien il était peuplé par des habitants les plus gentils au monde… Il y avait des tas de possibilités… Quoiqu’il en soit il voulait savoir. De plus il n’avait plus le choix, Georgie était déjà parti vers ce château mystérieux et donc il ne pouvait la laisser y aller seule. Il s’engouffra donc à sa suite. « Elle est vraiment folle, et inconsciente, mais je la reconnais bien la Georgie, aventurière et curieuse », sourit-il, « Mais nous ne connaissons vraiment, rien de ce monde, et je ne pense pas que nous soyons dans une sorte de ‘’Narnia’’, c’est impossible… » Il fut coupé dans ses pensées par le cri effrayé de Georgie, il accouru à toute vitesse vers elle, et manqua de peu de la faire tomber, en lui rentrant dedans. -Ça t’arrive souvent de crier comme ça ? s’énerva-t-il. Mais elle ne répondit pas, fixant un point devant elle, sans bouger. Il suivit son regard, et arrêta de respirer, devant eux se tenait un magnifique faune. Ce faune paraissait immense et son air bien que sympathique était masqué par une certaine réserve face aux deux inconnus. « Non c’est pas possible » se dit Skandar «C’est incroyable » pensa Georgie -Qui êtes-vous ? demanda le centaure d’une voix grave, et peu courtoise. - Euh… nous nous sommes perdus, et nous voudrions nous rendre au château… déclara Georgie, non moins intimidée par le ton froid du faune. - Perdus ? Vous venez d’où ? se radoucit-il, en jetant un regard aux vêtements des deux jeunes gens. En effet, Georgie portait un jeans délavé avec pull noir au col roulé. Skandar lui aussi portait un jeans bleu foncé, et un t-shirt à manches longues gris, qui avait séché. -Londres, dit Skandar l’air franchement intrigué. -Oh, je ne connais pas, prononça-t-il, désolé pour cet accueil peu chaleureux, mais il y a souvent des voyous qui rodent par-là à Narnia. En ce moment, Narnia n’est plus vraiment un pays, c’est plutôt un champ de bataille. Skandar et Georgie se lancèrent un regard. - Ce n’est pas grave, sourit Georgie, mais nous sommes vraiment à Narnia ? - Oui, dans le vrai Narnia. Si vous voulez je peux vous accompagnez jusqu'à la falaise, de là vous serez obligé de grimper pour atteindre le château, les Oragans ont détruit les escaliers en pierres pour nous tenir isolés… - Nous serons ravis que vous nous accompagniez… déclara Georgie dans un sourire, mais que se passe-t-il pour que la guerre ai lieu ? - Le Roi est devenu fou, on ne sait pas pourquoi, il tient des propos délirants, ne reconnait plus son propre fils… Je pense, reprit-il plus doucement, qu’il y a un ou plusieurs traîtres dans l’entourage du Roi… Ils commencèrent à marcher doucement tout en observant le joli paysage qui était sous leurs yeux, Georgie discutait avec le faune attentive, Skandar, lui n’était vraiment pas à l’aise, il semblait craindre quelque chose… -Nous détenons un objet qu’eux n’ont pas c’est pour cela que le jeune prince a déclaré la guerre. Les Oragans veulent cet objet juste pour anéantir tout sur leur passage, y compris les Narniens… dénonça le faune, désemparé. Mais au fait je ne me suis pas présenté… excusez-moi…, je me prénomme Lury. -Georgie, et voici Skandar, ne faites pas attention à lui, il est un peu perturbé, murmura-t-elle à Lury avec sourire. -Enchanté de vous connaître…. -Hey, je suis à côté de toi, je te ferais remarquer, grogna Skandar mi exaspéré, mi amusé à l’encontre de Georgie. Ils éclatèrent tous de rire, continuant à marcher tout en discutant. - C’est là que je vous laisse, ce n’est pas très dur à monter, enfin c’est la façade la moins dur pour se rendre au château. - Merci, dirent-ils à l’unisson. Le faune partit laissant les deux jeunes gens. Skandar regardait la hauteur de la falaise. - Si tu veux, je monte en premier et puis je t’envoie une corde… - Mon cher Skandar, ou trouverais-tu une corde aussi longue que la falaise ? De plus je peux me débrouillais toute seule. Sans plus attendre, elle se hissa sur la façade, grimpant la falaise. « Quelle tête de mule », se dit-il en se hissant à son tour. Plus ils montèrent, plus les points d’accroche et d’appui se faisaient rare. Skandar était arrivé le premier, il était dissimulé par les nuages bas qui faisaient leur apparition. Georgie commençait à avoir du mal à distinguer les pierres puisqu’à cause des nuages qui étaient aussi gris que la falaise, elle voyait de moins en moins ou elle pouvait s’agripper. Elle essaya malgré tout tant bien que mal de grimper, mais tout à coup, une pierre sur laquelle elle s’appuyait, glissa et elle ne tenait plus qu’avec une seule main. - Skandar !!!!!! Je glisse, hurla-t-elle. - Attrape ma main, Georgie, paniqua-t-il. - Je ne la vois pas, sanglota-t-elle. Skandar balança son bras de gauche à droite, pour essayer de trouver la main de la jeune fille. Alors que Georgie allait lâcher prise, il attrapa son poignet, et essaya tant bien que mal de soulever Georgie qui commencer sérieusement à pleurer. Après quelque seconde, Skandar réussit à hisser Georgie sur la terre ferme, elle se rua dans ses bras, en pleurs, alors que lui essayait tant bien que mal de reprendre son souffle. Toujours dans ses bras, mais calmée, resserrant son étreinte : -Tu n’aurais pas un peu grossie, depuis la dernière fois, tenta-il pour détendre l’atmosphère… Pour toute réponse, il entendit un bruit mêlant rire et sanglot. Il sourit, il savait la faire rire dans de telles circonstances, il la détacha de lui, et pu encore voir ses beaux yeux bleus humides, mais maintenant un petit sourire se dessina sur ces lèvres. -Merci, murmura-t-elle. - A ton service, sourie-t-il, en se relevant et par la même occasion Georgie en profita pour faire de même. Ils se mirent en marche, les nuages toujours aussi bas, les aveuglaient terriblement, ne voyant pas plus loin que leur bout de leur nez. Tout d’un coup, Skandar entendit quelqu’un se débattre, et crier. Il se retourna pour découvrir Georgie emprisonnée par un garde, il ne vit pas arriver derrière lui un autre garde. Il l’assomma par surprise. Skandar s’effondra sur le sol, s’engouffrant dans le noir absolu. -Skandar !!!!!!! hurla Georgie en voyant Skandar sans connaissance. - Toi, tais-toi, dis un garde d’une voix désagréable et autoritaire, qui es-tu ? - Je me suis perdue… - Je ne te crois pas, lança-t-il à l’encontre de la jeune fille. Il la jeta au sol, comme un vieux chiffon, Georgie tomba à la renverse, et se tordit la cheville. Elle se mordit la langue pour ne pas hurler. -Alors, tu vas répondre, qui es-tu ? - Je vous l’ai déjà dit, supplia-t-elle... - Tu veux connaître le même sort que ton ami, lui dit-il en se rapprochant d’elle. - Stop, arrêtez-vous ! hurla une voix sortie de nulle part. Georgie profita de l’inattention du garde pour se glisser vers Skandar. Elle put entendre quelques paroles échangées : -Mais sir, nous ne les connaissons pas…. Vous ne pouvez pas leur faire confiance, mais… Elle entendit des pas se rapprocher d’elle, elle ferma les yeux pour calmer son cœur, et les rouvrit. - Excusez-moi, dit un homme d’environ une vingtaine d’années, s’accroupissant auprès d’elle, mes gardes sont à bout de nerfs en ce moment. Il l’aida à se relever, Georgie gémit : -Vous avez mal quelque part ? demanda-t-il inquiet -Non, ce n’est pas très grave, occupez-vous plutôt de mon ami… murmura-t-elle en croisant son regard avec cet inconnu. - Garde, amenez ce jeune homme à l’infirmerie. Le jeune homme soutenu Georgie jusqu'à l’intérieur du château. Quand ils pénétrèrent tous deux dans le château, un sentiment de protection s’empara de Georgie. Elle se sentait rassurée, dans l’antre de ce château mais le fait qu’elle se trouvait dans les bras de ce bel inconnu n’était pas étranger. Plus elle le regardait et plus elle se sentait en confiance. Le château était en pierre recouvert de lierre sauvage à l’extérieur. La porte d’entrée en chêne massif était lourde et immense. Quand elle fut ouverte une énorme pièce se trouvait là. -C’est ici que vous habitez ? lui demanda Georgie, c’est immense -Oui, mademoiselle c’est ici, et encore cela n’est que l’entrée principale. - Apportez une chaise pour Mademoiselle, dit le jeune homme au valet, qu’elle puisse reposer sa cheville -Je vous remercie, vous êtes vraiment gentil, dit-elle de sa petite voix douce - C’est rien, c’est tout à fait normal répond-t-il en évitant le regard de la jeune fille Georgie s’assied sur la chaise disposée par le domestique et se mit à regarder les magnifiques tapisseries accrochées aux murs. Elle écarquilla les yeux devant tant de beauté. Son regard s’arrêta soudain devant le portrait d’un homme d’un certain âge représenté sur un tableau. Le mystérieux inconnu qui observait son invitée discrètement sans qu’elle le voie, la vit observer avec attention cette toile. -Il s’agit de mon père, dit-il soudain avec une pointe de tristesse dans la voix -Il semble gentil mais malgré tout dans son regard on sent une certaine puissance, je pense que c’est un homme très bon. Il ne répondit pas. Non pas qu’il ne le pensait pas mais à vrai dire l’état de son père l’inquiétait et il craignait que toute cette histoire de traître finisse par rendre malade ce père qu’il aimait tant. -Qu’on conduise cette demoiselle dans sa chambre dit-il à la femme de chambre. Je pense que vous devez être fatiguée continua-t-il en s’adressant à Georgie. - Effectivement, mais je ne voudrais surtout pas vous déranger - Vous ne me dérangez pas le moins du monde, c’est un réel plaisir d’inviter une aussi belle jeune fille que vous Georgie rougit. -Avant j’aimerais voir mon frère de cœur si cela est possible -Mais bien sûr, Annette va vous emmener jusqu’à l’infirmerie, en même temps vous en profiterez pour faire mettre un bandage sur votre cheville -Je vous en remercie encore lui dit-elle en partant avec son beau sourire Georgie suivit Annette jusqu’à l’infirmerie où Skandar se trouvait allongé sur un lit. Quand Aslan montre ses crocs, l'hiver meurt aussitôt. Quand il secoue sa belle crinière, le printemps réchauffe la Terre. |
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tes fous de faire sa !!! sa t'a pris combien de temp ??
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Franchemement c'est génial!
 Le récit est très bien construit et c'est un vrai plaisir de lire cette fanfic' (pour la 5e fois dans mon cas! LOL)! Hate a la 4e partie de cette superbe fic'! Continuez cc et tchoumi!  
Skandar Keynes! <3 |
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CHAPITRE 3
-Comment va-t-il ? demanda Georgie à la femme de chambre -Il est encore un peu assommé mais il devrait se réveiller dans peu de temps maintenant -Je l’espère -Ne vous inquiétez pas. On va le monter dans sa chambre. Vous serez plus tranquille. Georgie s’approcha de Skandar pour lui faire un bisou sur le front. L’infirmière rentra à ce moment-là et dit à Georgie : « Je vais vous faire votre bandage pour votre cheville ». L’infirmière fit un bandage à Georgie qui ne cessait pendant ce temps de regarder si Skandar se réveiller. Annette demanda si Skandar pouvait rejoindre sa chambre. L’infirmière répondit affirmativement. Toutes deux soulevèrent Skandar et l’emmenèrent dans sa chambre qui se trouvait au bout d’un long couloir lumineux au papier peint vert recouvert de tableaux représentant des paysages somptueux ? Il s’agissait sans nul doute de forêts, de montagnes et de plaines narniennes. Georgie qui les suivait derrière était en admiration devant ces magnifiques œuvres. Elles posèrent Skandar sur le lit de la chambre de ce dernier. Quelques minutes après celui-ci ouvrit les yeux, au grand bonheur de Georgie qui ne put s’empêcher de montrer un énorme sourire de joie. -Où suis-je ? demanda celui-ci -Comment te sens-tu ? répondit celle-ci -J’ai mal à la tête mais à part ça, ça va. Mais où suis-je donc ? -Tu es à Narnia, tu te rappelles ? -Oui, ça me revient vaguement, on a fait la connaissance d’un faune. -Tout à fait, et on a gravi une falaise -Dont tu as failli te rompre les os si je me souviens bien… -Euh oui, effectivement, sourit Georgie -Je me souviens qu’après, je t’ai vu emprisonnée puis après j’ai senti un grand choc sur la tête mais après plus rien… -C’est là que tu as été assommé par un autre garde -ll n’y a pas été de main morte dit Skandar en touchant le sommet de son crâne avec un large sourire mi amusé-mi sérieux -Mon pauvre Skandar -Oh, elle en a vu d’autres, dit-il amusé, bon ça me dit toujours pas où nous sommes ? -Nous sommes dans un château dit-elle -Un château ‼ ‼ ‼ ‼ ?????? Quel château ? dit-il en écarquillant les yeux -Oui, c’est le château du père du jeune homme qui m’a amené ici, il est charmant, il m’a aidé à marcher jusqu’ici -Pour quelle raison ? -Ah, je ne te l’ai pas dit, je me suis tordue la cheville, quand le garde m’à jeter sur le sol -Et c’est maintenant que tu me le dis ? -Ben… -C’est très gentil de sa part. Où est-il que je le remercie ? Il s’appelle comment d’ailleurs ? -Je ne sais pas, j’ai complétement oublié de lui demander, je vais voir où qu’il est… Pendant que Georgie était sortie chercher le jeune homme, Skandar commençait à s’inquiéter pour son propre état de santé… Pendant la conversation, il avait l’impression d’entendre une voix à travers son esprit…. Comme s’il entendait les pensées de Georgie… « Ce coup sur la tête m’a rendu fou », se disait-t-il Georgie revint à ce moment-là, et voyant Skandar pensif, lui demanda : -Tout va bien, Skandar ? -Oui, oui j’étais assoupi… Alors où est-il ce mystérieux sauveur ? -Il s’est absenté, m’a dit Annette, la femme de chambre, il sera de retour à 18 heures pour le dîner, il en profitera pour se présenter, je suppose… -Très bien dit Skandar je vais en profiter pour me reposer un peu -A tout à l’heure, dit Georgie en rejoignant sa chambre qui se trouve en face de celle de Skandar. 18 heures venait de sonner dans la grande horloge du hall d’entrée du château. La sonnerie qui résonna dans tout le château parvenu jusqu’aux oreilles de Skandar qui n’avait pas réussi à se reposer vraiment, étant trop inquiet sur ce qu’il lui arrivait à lui et à Georgie. Il se sentait mieux et décida donc de se mettre debout. Georgie, qui se trouvait donc la chambre en face de celle de Skandar, sortit au même moment. -Comment va mon cher frère ? lui demanda-t-elle tout sourire -Bien, comme tu vois, je me suis levé -Tu aurais dû attendre que je sois là, imagine que tu sois tombé ? -Ma chère sœur je suis encore capable de me lever seul de mon lit, vous ne trouvez pas ? dit Skandar en se moquant gentiment -Oui peut-être dit Georgie en riant Annette arriva à ce moment-là et trouva Georgie et Skandar en train de rire aux éclats. -Je vois que nos deux malades semblent aller beaucoup mieux -Je crois oui, dit Skandar en souriant, mais je dois dire que je commence à avoir faim -Moi aussi, dit Georgie -Ça tombe bien, je venais justement vous prévenir que le repas était prêt et que Monsieur vous attend -On arrive tout de suite, répondit Georgie enchantée de revoir ce jeune homme -Moi je voudrai bien le voir aussi pour le remercier d’avoir aidé ma sœur qui se trouvait dans un état critique, dit Skandar en s’amusant -On vous suit, dit Georgie à Annette Ils arrivèrent tous trois après avoir traversé le couloir des chambres et le salon principal, dans une grande salle couverte d’une tapisserie rouge avec toujours de somptueux tableaux représentant des paysages magiques. Une grande table en bois était dressée recouverte d’une nappe blanche avec des symboles royaux à chaque coin. Un repas assez conséquent était disposé. Quatre chaises étaient mises mais une était déjà occupée par le mystérieux sauveur. « Je vous attendais, prenez place, je vous prie » dit celui-ci avec un large sourire. Georgie s’installa sur la chaise en face du jeune homme et Skandar choisit celle qui se trouvait à côté de Georgie. A même moment, une jeune fille aux cheveux châtains et aux magnifiques yeux marron entra dans la pièce. Elle regarda les deux visiteurs d’un air surpris puis s’installa sur la seule chaise disponible, celle qui se trouvait en face de Skandar. Celui-ci ne put s’empêcher de lui faire un sourire. -Bien, maintenant que presque tout le monde est au complet, je vais pouvoir faire les présentations. Voici Eliana ma sœur adoptive, et je me prénomme Alex. -Enchantée de vous connaître, répondit Georgie. Je suis Georgie et voici mon frère Skandar -Ravi de faire votre connaissance, dit Alex. Quelle est la raison de votre venue dans ces lieux ? -Et bien en réalité, nous nous chamaillions et puis à force de courir, j’ai fini par apercevoir un château. N’est-ce pas Skandar ? Skandar… tu m’écoutes ? Skandar qui était absorbé par Eliana n’écoutait pas ce que disait Georgie. -Oui, oui effectivement -Il faut l’excuser, il est un peu perturbé, dit Georgie en riant à Alex -C’est ce que je vois répondit Alex d’un sourire -Non, non çà va très bien répondit Skandar, mi amusé-mi sérieux - On ne dirait pas dit Eliana d’un ton très sérieux Ces paroles eurent pour effet de faire régner le silence dans la salle. -Bon si on commençait à manger ?, dit Alex pour détendre l’atmosphère -Avec plaisir, dit Skandar, je meurs de faim ! L’entrée qui était composée de crudités fut mangée en très peu de temps. L’appétit de nos deux amis n’eut aucune pitié pour elle ! Au moment de commencer à manger le plat principal, Georgie demanda à Eliana: -Votre père ne mange pas avec nous ? Eliana ne répondit pas. - Non, malheureusement, répondit Alex, il reste dans sa chambre cloîtré. Il se méfie de tout le monde. -C’est triste, répondit Georgie, cette histoire de traître le perturbe -Oui, il soupçonne tout le monde. Même moi son propre fils. Et encore plus Eliana. -Pourquoi ? -Car Eliana a été adoptée par mon père lorsqu’elle était bébé - Je vois, répondit Georgie. -Je ne peux lui en vouloir, j’agirais pareil à sa place. -Le faune que j’ai rencontré tout à l’heure, Lury, m’a parlé d’un objet que les Oragans voudraient ? -C’est exact mais je ne peux vous révéler pour l’instant de ce qu’il s’agit, c’est trop important -Je comprends, répondit Georgie. Tu n’es pas très bavard dit-elle en s’adressant à Skandar -Non non, je vous écoute parler En réalité Skandar était en train de réaliser qu’il pouvait lire dans les pensées. Et cela n’était lui faisait une drôle d’impression. Et il venait de se rendre compte d’une chose, les sentiments que ressentait Georgie envers Alex était très fort. Georgie était amoureuse de lui. Et cela il ne le supportait pas ! Il était jaloux ! Sa petite sœur était amoureuse, ce n’était pas possible ! Et pourtant… Ils étaient arrivés au dessert et la conversation entre Georgie, Skandar et Alex allait bon train et chacun apprenait à connaître l’autre. Georgie se disait : « Je crois que je suis amoureuse d’Alex… c’est un sentiment magique… » D’un seul coup 20 heures sonnât à la grande horloge du salon. -Déjà ? dit Georgie, le temps en votre compagnie passe vraiment vite -Merci, je vous retourne le compliment, répondit Alex légèrement gêné -Je suis complétement exténué, dit Skandar, j’ai hâte d’aller dormir -Il est vrai que votre journée était assez mouvementé, dit Alex -Je ne peux pas dire le contraire, ria Skandar Ils se levèrent tous les quatre et se dirigèrent vers le salon qui se trouvait à côté. Skandar regarda Eliana et il remarqua que c’était la seule avec qui il ne pouvait lire dans les pensées. Cela l’intriquait car il doit dire qu’il aurait bien voulu savoir ce qu’elle pouvait penser de lui… -Je vous souhaite une bonne nuit, dit Alex aux deux visiteurs mais avec un regard appuyé sur celui de Georgie -Bonne nuit Alex, répondit Georgie en le regardant avec un beau sourire. -Bonne nuit dit Skandar à Alex. A vous aussi Eliana, en esquissant un sourire -Bonne nuit répondit assez froidement la belle Eliana Ils se dirigèrent vers le couloir qui menait à leurs chambres. Skandar demanda à Georgie non sans une certaine malice : -Il est gentil n’est-ce pas cet Alex ? -Oh oui, très, répondit-elle -Tu l’aimes bien ? -Pas spécialement, pourquoi dis-tu ça ? Je le connais à peine ! -Non non, comme ça -Allez bonne nuit grand frère, lui dit-elle en l’embrassant sur la joue -Bonne nuit petite sœur, et ….fais de beaux rêves -Toi aussi. Ils se dirigèrent tous deux dans leurs chambres et fermèrent en duo leur porte. Édité par cc41 le 25/01/2011 à 20:59 Quand Aslan montre ses crocs, l'hiver meurt aussitôt. Quand il secoue sa belle crinière, le printemps réchauffe la Terre. |
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ouah rien que ça, vous vous payez votre petit topic perso, hein?
je rigooole c trop bien  bonne idée, et puis surtout votre histoire est super. vous avez juste intérêt à marier Eliana avec Skandar, et Georgie avec Alex, mais je pense que bon c deja prévu
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Merci Amy pour ses encouragements.
Vous allez bientôt découvrir le quatrième chapitre
Quand Aslan montre ses crocs, l'hiver meurt aussitôt. Quand il secoue sa belle crinière, le printemps réchauffe la Terre. |
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... si Monsieur deigne vouloir ecrire une minuscule petite partie du chapitre 4.
Il faut l'encourager
"Je voudrais que tu comprennes ce qu'est le vrai courage... C'est savoir que tu pars battu d'avance et, malgré ca, agir quand même et tenir jusqu'au bout." Harper Lee. "Il n'arrive des choses extraordinaires qu'aux personnes extraordinaires" dixit Ripitchip, l'odyssée du passeur d'aurore |
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tchoumi21 à dit : Ouais GO cc!! GO GO GO!! A quand la publication du 4e chapitre??
Édité par fallenangel le 07/02/2011 à 17:26 Skandar Keynes! <3 |
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fallenangel à dit : oui, quand ??????? c'est deja tros bien, vivement la suite !!!!!!!!!!!!!!!!! Le jour où la chair d'Adam, où les os d'Adam Siégeront sur le trône de Cair Paravel, Le temps des malheurs cessera complètement. (le monde de narnia, tome 1, le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique . ) ...capable d'etre dans l'incertitude, le mystère et le doute, en oubliant l'exaspérante quête de la vérité et de la raison. Voilà l'état d'esprit qui convient. ( A la croisée des mondes, tome II, La tour des anges. ) POUR ASLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ET POUR NARNIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! |
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Viiite!!! On craaaaque!!!
Skandar Keynes! <3 |